Ishiwara Juno
nom -- ishiwara.
prénom -- juno, juno, syllabes courtes, faciles à garder en tête. faciles à soupirer.
âge -- vingt-cinq ans, mais l'insouciance enfantine encore.
date et lieu de naissance -- seize octobre, 1992
origines -- japon, japon.
métier/études -- rougeurs aux joues quand on le reconnait dans la rue, envie et honte qui se mêlent. acteur de film érotique, visage si familier dû à une longue carrière.
statut civil -- célibataire.
orientation sexuelle -- bisexuel.
traits de caractère -- attentionné, tendre, affectueux, idiot, naïf, influençable, sensible, doux, jaloux, taquin, possessif, capricieux, provocateur, charmant, accessible, souriant.
groupe -- twelve.
maintheme -- 7/11 we need fantasy to survive because reality is too difficult.
さようなら
Il a une longue cicatrice au dos, un souvenir du passé, une grande partie est cachée par un tatouage mais les traces en sont toujours visibles. の Il ne saisit pas la notion de pudeur, d'intimité ou encore d'espace vitale. Collant, assez. の Il est allergique aux chats mais en possède pourtant un, recueilli en bas de son immeuble dans un sale état. Les éternuements sont assez courants depuis. の Crédulité hors-norme, il peut croire à n'importe quoi tant qu'on lui expose un pattern quelque peu logique. の Il est expert en chantage affectif, dû à une peur de l'abandon. C'est quelqu'un d'excessif et presque théâtrale. Il abandonne avant de se faire abandonner, fait du mal avant d'avoir mal. の Il a un très mauvais karma aussi. の Il compte toujours jusqu'à trois quand il ferme une porte ou même juste le couvercle d'une boite de cornichon. の Il est capricieux, ses lèvres sont souvent boudeuses, toujours insatisfait. の Il adore glander et se prélasser dans son lit tout le matin. の
Ça n’a jamais été de l’amour, c’est juste ce qu’on lui a fait croire. Esprit conditionné, à hocher la tête, à courber l’échine, oxygène qu’il inhale pour maintenir une vie qui ne lui appartient pas. Le premier coup, jamais le dernier, n’a pas été de l’amour non plus, mais c’est qu’on lui répète.
« Pour ton bien, parce que je t’aime… » mots du paternel, sur les ecchymoses qui teintent son épiderme, nuances de bleus et de violets. Douloureuses, presque éternelles, parce qu’elles n’ont pas le temps de s’éteindre que d’autres en prennent la place. Enfant battu, Juno se pensait enfant aimé. C’est ainsi que son père avait changé toute sa vie, coups et insultes à chaque mauvaise note ramenée, chaque petit faux-pas. Peau vive sous les caresses plus douces de sa mère, jamais assez réconfortèrent. Pourtant, il n’a cessé de se blottir dans ses bras le soir, même quand ses membres le tirent encore plus avec ce geste, c’est juste de l’amour après tout, c’est pour ça que ça fait mal. Elle n’a jamais rien pu faire, que les murmures rassurants mais jamais la force de faire face à l’homme.
Les traits de sa mère, si délicats, se sont rapidement effacés de sa mémoire. Au début, c’est de sa voix qu’il ne se rappelait plus, et son visage devint si fade. Elle a fui, avec un homme plus jeune, plus riche, plus bon. Facile de trouver mieux de toute façon, avec le père qu’il a. Elle l’a laissé et Juno s’en était douté. Elle ne lui avait jamais fait de mal avant, surement qu’elle ne l’aimait pas assez. Vie à eux, son père et lui. Juno a évité les contacts pendant des mois, souvent dans sa chambre.
C’est un jeu au début, une manière de gagner de l’argent facile, se dévêtir devant une caméra, aguicher et séduire les autres ; les inconnus. Les constellations de son corps cachées par un fond de teint bas de gamme, une caméra tout aussi pourri capte ses sourires et ses gémissements. Les vues augmentent, ça devient trop important, on commence parfois à le reconnaitre dans la rue. Regards gênés, embarrassés, parfois dégoutés mais toujours silencieux.
Puis il y’a eu le coup de trop. Il n’est plus un enfant, il fait une tête de plus que son père pourtant il doit encore supporter ses sautes d’humeurs, son regard dégradant sur lui. Le coup de trop, c’est le vase que son père lui lance, celui qui laisse son dos en sang. Le coup de trop, c’est que fait fuir Juno la maison, pour toujours. Il trouve refuge chez un ami, il a ses économies, et rapidement il est contacté par une agence qui attendait seulement sa majorité.
Il laisse tout tomber, compteur à zéro. Il ne veut plus se soumettre. Rapidement, il devient le préféré de l’agence, multiplient les films, son corps plait, façonné petit à petit par de nombreuses heures de sport.
C'est un métier comme un autre, il ne peut espérer mieux alors qu'il n'est pas allé plus loin que le lycée. Il lui permet d'être indépendant, de se permettre quelques luxes tout en laissant de l'argent de côté, parce qu'il sait qu'il ne durera pas pour toujours. Juno avait eu le même agent depuis le tout début, une femme qui négociait ses contrats hors agence, mais depuis quelques temps les courbes généreuses ont été remplacé par des épaules plus larges, un regard presque doux parfois. Hyunseong. Deux ans déjà qu'il est son protégé et Juno ne sait quoi penser de lui.
deuxième visage
t'aimes quoi dans la vie sinon ? -- barbie, the100, hunterxhunter.
plutôt sushis ou ramens ? -- sushis, parce que j'ai entendu trop d'histoires traumatisantes sur les ramens aux brocolis
et le forum, tu trouves qu'il est beau comment ? -- c'est genre tout simple et tout doux, grave mimi j'adore
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crédits -- bonne question.
- Code:
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<buzy>shin hoseok --wonho + monsta x --</buzy> ishiwara juno