Adrian DiLaurentis
nom -- DiLaurentis. prénom -- Adrian. âge -- 28 ans. date et lieu de naissance -- Le 23 mars à Toronto, Canada. origines -- Canadiennes. métier/études -- Diplômé en sciences politiques, il travaille maintenant en tant que conseiller politique à la mairie de Tôkyô. Il est aussi général yakuza, un poste hérité de feu son père. Ce n'est toutefois pas une information connue du public. statut civil -- Célibataire endurci. orientation sexuelle -- Bisexuel libéré. traits de caractère -- intelligent, extrémiste, sociable, cruel, charismatique, calculateur, fin stratège, possessif, observateur, dissimulateur groupe -- Irina Jelavic. maintheme -- Animals, Maroon 5.
Would you mind if I hurt you ?
Le foutoir à informations
01 ⋆ La majorité de son corps est recouvert de tatouages. Ils ne sont pas typiquement mafieux, donc impossible de le lier à la yakuza via ceux-ci... si ce n'est peut-être l'immense démon japonais dans son dos. Mais qui irait voir jusque-là si ce n'est pas pour être un minimum intime avec lui, hm ?
02 ⋆ On peut probablement dire qu'il est petit. Son mètre soixante-quatorze ne lui permet pas trop de se vanter à ce niveau.
03 ⋆ Adrian adore les chats, probablement tout autant qu’il déteste les chiens. Il a d’ailleurs trois siamois, tous plus affectueux les uns que les autres… sauf avec les visiteurs, qu’ils aimeraient bien réduire en charpie !
04 ⋆ Il n’écoute que de la musique classique et instrumentale, détestant la musique populaire tout autant que les chanteurs qui l’accompagnent. Autant dire qu’il ne comprend pas l’engouement pour les groupes de pop moderne hyper industrialisés et sexualisés !
05 ⋆ Adrian habite un somptueux appartement sur deux étages tout en haut d'une tour de Chuo. De la mezzanine, on peut observer une immense bibliothèque dans laquelle il adore passer ses soirées, assis près du foyer, un livre dans les mains. Tout est décoré de façon sombre, mais pas étouffante. Le style est plus ancien que moderne, mais toutes les commodités sont à la fine pointe de la technologie, à commencer par Shimao, l’intelligence artificielle.
06 ⋆ La langue maternelle d’Adrian est l’anglais. Il a appris le français très tôt, sa mère étant native de la paisible ville de Québec. Le japonais est, quant à lui, devenu sa langue de travail et il est très fier de la maîtrise complète qu’il en a maintenant.
07 ⋆ Adrian est un bon tireur. Il possède quelques armes à feu, dont un glock qui ne le quitte que rarement. On n’est jamais trop prudent quand on traite avec la racaille…
08 ⋆ Il a plusieurs gros défauts mais pas celui d’être misogyne, étonnamment. N’importe qui a la même valeur à ses yeux, ce qui n'est toutefois pas nécessairement très positif puisque Adrian n'a pas beaucoup d'estime pour les autres à moins qu'ils n'en fassent la preuve. Leur sexe n'est toutefois pas pris en compte et il est un des très rares yakuzas à avoir des femmes à son service... et pas pour jouer les potiches de service !
09 ⋆ Si vous êtes Chinois, il ne vous aimera pas beaucoup. Si vous êtes un mafieux chinois, vous êtes damné à ses yeux et il pourrait même être très dangereux de le côtoyer.
L'histoire
Une chambre. Immense. Sombre. Tout autant que l’appartement luxueux dans lequel elle tenait place. Une silhouette. Courte. Solide. Devant un miroir plein pied, l’œil sombre observant de façon critique le complet sur mesure qui était enfilé pour la première fois. Si les yeux étaient le miroir de l’âme, ceux d’Adrian DiLaurentis confirmaient la noirceur de la sienne. Iris si sombre qu’on en discernait à peine la pupille, il était capable de regards foudroyants qui auraient fait taire n’importe quelle grande gueule. Ça avait toujours été comme ça, d’aussi loin qu’il se souvienne. Enfant, Adrian était sévère, sérieux. Il se souvenait de l’inquiétude de sa mère à ce sujet. Du très vague intérêt que son père y avait porté avant de déclarer qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter. En apparence, c’est le paternel qui eût raison. Adrian excellait dans tout ce qu’il entreprenait. Enfant studieux et attentif, il semblait ne jamais échouer. Toutefois, lorsque l’échec arrivait, tout s’écroulait autour de lui. Hurlements, crises, panique même...
C’est à l’adolescence que les crises cessèrent, avec l’arrivée de la maturité, la vraie. Celle qu’on peut lire dans le regard d’un garçon aux pupilles plus vieilles que lui. Un père toujours aussi absent, certes... mais qu’Adrian préférait à une mère trop protectrice qui savait si bien comment l’étouffer, bien que ce ne soit que de l’amour. Un enfant comme les autres aurait probablement davantage souffert de l’absence d’une figure parentale. Pas lui. Lui rêvait déjà de voyages. Il visait naturellement le Japon, puisque c’est là-bas que son père faisait le plus gros de ses affaires. Mais, il ne voulait pas y aller en touriste, comme lui. Il voulait apprendre la langue, les coutumes. Peut-être même y vivre pour quitter l’étreinte maternelle trop étouffante. Finalement, Adrian était peut-être un adolescent comme les autres, avec ses envies de liberté et sa rébellion personnelle.... tout en étant très différent.
L’homme soupire. Une de ses mains tatouées remonte jusqu’au noeud de sa cravate, lequel il resserre avec habileté. Ce soir, il semblait un peu absent alors même qu’il aurait dût se préparer à sortir de nouveau pour un cocktail de charité qui se donnait en centre-ville. Allez savoir pourquoi... Est-ce que sa belle Toronto natale lui manquait ? Pas particulièrement. Adrian faisait partie de ces personnes très peu nostalgiques qui ne regardaient pas ce qu’ils laissaient dans leur sillage... ce qui était sûrement mieux parce que cet homme-là y laissait souvent souffrance et désolation. Là-bas pourtant, il avait pu se faire de solides bases. Son diplôme aurait pu être en gestion de commerce, comme son père l’avait presque exigé, mais il avait nettement refusé, s’orientant plutôt en sciences politiques. Il avait fini premier de sa classe, avec mention. Il était fier de ce diplôme, il s’en souvient encore. D’ailleurs, un fin et rare sourire étire les lèvres d’Adrian à ce souvenir, qui restait bon malgré les années passées.
Puis, il avait insisté pour venir travailler ici même, à Tôkyô. Là où son père faisait toutes ses affaires, dans la très sélecte pègre japonaise. Cette fois, le sourire disparaît, faisant même place à un regard orageux. Rien que le convaincre de le laisser venir travailler ici avait été la croix et la bannière... Un homme ne devrait-il pas être fier d’avoir un héritier ? Pas celui-là, en tout cas. Là où il en avait jadis voulu à sa mère, Adrian en voulait maintenant à son père, lequel avait cru bon de tout faire ce qui était en son pouvoir pour le renvoyer chez lui... Est-ce que ce fut à ce moment qu’il développa une aversion pour la Triade ? Il ne saurait dire. La méfiance avait toujours été là et croyez-le : ils pullulaient dans les rues de Toronto sous couverts de parfaits hommes d’affaires. Mais le bras droit de son père, au Japon, était une Chinoise magnifique capable de choses étonnantes rien qu’avec un peu de motivations... Et rapidement, le jeune homme compris que son père la trouvait encore plus magnifique qu’elle ne l’était réellement. Une femme. Il avait voulu le garder éloigner de son héritage pour une femme !
Certes. Adrian se fichait un peu des relations extraconjugales de son père. Une réaction peu normale pour un fils, mais ça ne le regardait pas, à son humble avis. Par contre, qu’on veuille l’évincer, c’était une autre paire de manche... Alors fourbe, rusé, il entreprit d’appliquer avec soin les ambitions de son père au seins de la yakuza... mais dans le but de le retourner contre lui-même. Cette femme aurait dû être un dommage collatéral, mais réussi à s’enfuir. Peut-être qu’Adrian songe d’ailleurs encore à la retrouver... Quoi qu’il en soit, le paternel pu regretter l’avoir mis de côté pendant les quelques secondes qui précédèrent le parricide. Mais pouvait-il uniquement en vouloir à son fils ? Adrian avait découvert, en mettant son nez là où son père ne voulait pas qu’il regarde, des documents compromettants quant à la fidélité qu’il vouait à l’oyabun. Le reste avait été un jeu d’enfant et récupérer la place de cet homme après avoir démontré tant de loyauté n’avait pas été si compliqué. Adrian était enfin là où il méritait de l’être : sur le trône de son père.
Sa couverture n’en est pas vraiment une. Adrian est vraiment un passionné de politique et celle de Tôkyô peut être bien plus palpitante qu’on oserait le croire. Manipulateur, il utilise bien évidemment son rôle au compte des hommes qu’il sert dans l’ombre. Rien de bien sorcier à ça. La politique est, de par le monde, le secteur le plus perverti par les mafias. Personne ne serait surpris de réaliser qui il est réellement. Peut-être feraient-ils semblant… Mais peu importe puisque Adrian ne compte pas perdre l’avantage de l’anonymat de sitôt.
deuxième visage
t'aimes quoi dans la vie sinon ? -- RP, les mangas, liiiire, Sailor Moon, BAP, Nightwish, l'automne
plutôt sushis ou ramens ? -- Ramens.
et le forum, tu trouves qu'il est beau comment ? -- Très
Je ne vais pas flooder, c'est pas contre vous, c'est moi qui m'inscris vraiment juste pour rp avec vous
Mais je me plains pas de pas m'intégrer. Tant que jai des rps, je suis un petit oiseau heureux-heureux
crédits -- Merci google pour le gif anonyme
Merci moi pour la fiche
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<buzy>Snoeks Daniel --</buzy> DiLaurentis Adrian