himura yūji
nom -- himura
prénom -- yūji
âge -- 23 ans d'errance et d'instabilité
date et lieu de naissance -- Né un vendredi 13, au mois de mai en 1994 à Tokyo, dans le quartier de shimokitazawa qu'il chérit tant.
origines -- Tokyoïte, pour rien au monde il ne quitterait sa grande ville de lumière
métier/études -- Mauvais garçon des rues, la drogue qui passe dans ses mains devient argent. Pour prétendre être un homme honnête, il plonge parfois ses doigts dans le cambouis pour faire vrombir à nouveau le moteur des motos épuisées
statut civil -- Le sens de l'amour reste à définir. Lui n'aime que ses frères, ceux de sa bande. A ses yeux, la romance n'est qu'encombrante et inutile.
orientation sexuelle -- Il aime le goût des femmes, celui des hommes. Il les aime parfois individuellement, parfois ensemble. Pourquoi se restreindre lorsqu'on peut tout avoir ?
traits de caractère -- direct - félin - impavide - obstiné - taciturne - impulsif - froid - séducteur
groupe --mikasa ackerman
maintheme -- when the night passes there's no way you'll be of the right mind.
Loneliness will sit over our roofs with brooding wings.
さようなら
On top of the world. Objectif égoïste. Le remord est un obstacle pour y parvenir, alors Yuji a du se débarrasser de ce type de sentiments. Le garçon a mit sa compassion dans une petite boîte et l'a enterré profondément dans la terre. Devenu un requin errant dans la ville, il use ses dents pour détruite les obstacles qui se dressent sur son chemin. Pas de réflexion, seulement de l'action. Pour pouvoir grimper la pyramide du pouvoir il faut être réactif.
Lone wolf. Son sourire est rare. Les probabilités de rentrer par erreur dans une mine débordant de diamants sont plus élevées que celle ce voir ses lèvres s'étier. Il ne tord pas son visage par politesse ou sympathie. Non, cela n'arrive que lorsqu'il en a réellement envie, lorsque ses zygomatiques deviennent incontrôlables. Le voir afficher ses dents est donc une marque de sincérité ultime de sa part. Une vision précieuse.
Almost a good boy. Il respecte énormément les personnes âgées. C'est peut-être même la seule chose qu'il respecte... Leur vécu et leur savoir est une valeur à chérir pour lui. Il prend grand soin de sa grand-mère et lui rend souvent visite. Il l'aide pour nettoyer sa maison, faire ses courses. C'est un petit-fils dévoué.
Magic touch. Lorsque ses doigts ne sont pas couverts de cambouis, perdus dans un moteur, ils glissent sur un clavier de piano. Choix de sa mère devenu amour. Un son qui parait souvent trop sensible pour l'homme qu'il est et, pourtant, ces notes douces reflètent bel et bien une partie existante de son être. Celle que personne ne voit, parce qu'il la perçoit comme une faiblesse. Une facette que ses rivaux ne devraient jamais connaître. Alors il se cache dans l'ombre pour laisser parler sa passion.
Does it make sense ? Si les clopes s'enchainent entre ses lèvres, si ses mains délivrent sans remords des poisons, il ne boit cependant jamais d'alcool. Etonnant pour un garçon issu du vice. Mais il est incapable d'en sentir le goût contre son palais, même d'en sentir l'odeur. Alcool, pour lui rien de plus qu'un fantôme toxique de son passé.
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1994Le premier cri d'un enfant. Le fils est né et son père est fier de pouvoir lui donner un prénom masculin.
Yūji. Son égo est flatté, soulagé parce que sa lignée est assurée.
Pour sa mère ça n'aurait fait aucune différence. Elle est juste heureuse de pouvoir tenir son enfant dans ses bras, tout contre elle. Encore sale et hurlant, elle dépose tout de même un baiser sur son front sanglant. Regardant sa progéniture fripée avec tendresse, elle fait ce jour là la promesse de toujours le chérir et de ne jamais le laisser souffrir.
Une promesse utopiste. Une promesse brisée malgré qu'elle ait fait de son mieux pour la tenir.
2000Yūji est un frère ainé à présent. Il vient de fêter ses six ans et sa vie commence à s'imprimer de façon permanente dans ses souvenirs. Il est de plus en plus conscient du monde et il commence à avoir la lucidité de remarquer qu'il n'est pas particulièrement rose.
Une assiette qui se brise contre un mur le fait sursauter dans son lit. Les pleurs de sa mère qui traversent la porte sa chambre. Pourtant il entend bien qu'elle cherche à les étouffer. Elle doit avoir mit la main devant sa bouche. Sons lourds, sons de heurt. Il la retrouve couverte d'hématomes le lendemain matin. Elle sourit, prétend avoir chuté.
Combien de fois à t-e-elle utilisé cette excuse désormais ? La naïveté de Yūji commence à se faner. Il comprend, il commence à voir la rancoeur et la colère de son père. Mais que peut-il faire ? Lui, du haut de ses six ans...
2004Dix ans de vie et déjà la misère dans le coeur.
Les illusions peinte par sa mère se sont toutes estompées. Yūji commence à perdre son âme d'enfant. Son appartement n'est plus un terrain de jeu, mais bel et bien un lieu étroit et étouffant. A l'école il découvre la compétition. Il regarde les gamins plus riches que lui se pavaner en affichant clairement leur classe sociale meilleure que la sienne. Ils se moquent du contenu maigre de son bentō, de ses chaussures sans marque. Alors ça devient plus simple pour lui de s'isoler, de faire abstraction de ces remarques. Il aimerait tant leur crier d'arrêter, de ne pas moquer les efforts de sa mère.
Elle fait ce qu'elle peut. Mais il reste silencieux, s'enfermant dans sa bulle de rancoeur. Calme mais bouillonnant à l'intérieur.
2008Les débuts de l'adolescence. La première gifle.
Jamais il n'avait touché ses enfants. Il ne punissait que sa femme. Mais ce jour là il a bu plus qu'un verre de trop. Il en a bu tant qu'il tient à peine se sur jambes. Il est devenu fou en voyant la mauvaise note en mathématiques de son fils.
Honteux. Son héritier doit faire mieux, il doit le rendre fier. Alors il le corrige à sa façon, la seule qu'il connaisse. Faire passer les leçons dans la violence c'était sa seule méthode.
Pour la première fois Yūji découvre ce que sa mère a du endurer durant toutes ces années. Sa mère qui pleure en témoin impuissant.
La joue rouge, la lèvre enflée, le gamin fait une promesse ce jour là.
Un jour il sauvera sa famille cet homme.2010Enfant perdu, enfant devenu uni à la rue pour fuir son foyer. Ses fréquentations se font douteuses, son attitude se détériore. Il devient chien qui gronde sans jamais aboyer. On dit souvent que ce sont les plus dangereux. Ceux qui montrent les crocs en silence.
Ses cigarettes deviennent plus complexes, lui font tourner la tête. Acheteur de rêve qui regarde avec envie les mains des revendeurs. Combien se font-ils ? Il a déjà remarqué leur allure, il sait reconnaître un vêtement de marque. L'envie germe dans son esprit. Puis un plan. Pourrait-il lui aussi se faire autant d'argent ? Il se pose la question. Un portefeuille garni lui permettrait d'éliminer ce père de sa vie, ce père dont toute sa famille dépend parce qu'il a un pouvoir financier. Mais il pourrait prendre sa place, assumer et subvenir aux besoins.
L'enfant perdu se découvre une solution à son objectif et ses errances le rapprochent de sa solution.
2011Dix-sept ans, le gamin a gagné la confiance du gang et fait passer sa première marchandise dans les mains d'un client. Son coeur bat plus vite à la vue des billets qu'il tient en retour. Il ne pourra en garder qu'une partie, mais la somme reste belle. Il l'enferme dans une petite boîte fermée à clé sous son matelas. Doucement, il la laisse se remplir jusqu'à déborder. Ça va vite et ça lui procure un plaisir vicieux de se sentir soudain capable de clamer son indépendance, d'être autonome en secret.
Un soir il reçoit le coup de trop. Dans l'estomac, il se plie en deux. Il n'a pourtant rien fait, si ce n'est trop trainer dehors. Il avait toujours encaissé cette violence, mais cette fois il se sent puissant. Il a un secret caché dans sa boîte. Plus de raisons d'avoir peur des conséquences. Alors, pour une fois, il aboie en retour. Il sent la peau de son paternel s'écraser sous son poing et la sensation est étrange. Pourtant il n'a aucun regret. Non, le geste est même libérateur.
Il ordonne à sa mère et sa soeur d'emballer leurs affaires pour partir.
C'est moi qui vais prendre soin de vous désormais. Il peut enfin le dire.
Gamin devenu homme.2015Le paternel a disparu. Yūji s'est assuré de ne pas lui donner l'opportunité de les retrouver. Il ne veut plus entendre parler de lui. Il peut mourir dans son alcool et sa violence.
Sa famille est passée d'un appartement de papier à un autre. Rien d'éblouissant. Mais au moins sa mère est libre. Saine et sauve.
Lui s'est envolé ailleurs. Dans un chez lui plus luxueux. Certains diront que c'est égoïste de sa part de s'offrir un logement si précieux en solitaire en laissant les femmes dont il a la responsabilité dans un petit trois pièces. Mais elles n'ont jamais demandé plus. Elles n'ont pas sa cupidité. Cupidité qui a germé dans son coeur en voyant l'argent continuer de s'accumuler.
Sale et illégal. Pourtant si facile qu'il est difficile d'y renoncer. Yūji a continué de grimper les échelons jusqu'à faire grandir son pourcentage. Il est devenu un loup, un roi. A présent c'est lui qui prend des parts de la main des petits employés. La rue a apprit à le craindre et à le respecter.
2018Erreur de jugement. Yūji avait placé sa confiance dans le mauvais gamin. Il avait surestimé son contrôle sur lui et l'insolent s'était barré avec sa marchandise. Une belle somme envolée. Il en a explosé un verre au mur en découvrant qu'il s'était fait trompé. Un geste trop similaire à celui de son paternel. La colère a brûlé son âme. Parce que ce fou venait de mettre en péril une réputation construite sur tant d'années. Son job, son revenu. Ça n'a pas plus au reste du gang. C'est lui qui a du payer cet échec de sa poche pour ne pas avoir à recevoir une réprimande plus virulente. Une honte, une fierté blessée.
Tu ne peux pas laisser ça passer. Non, il allait devoir lui faire payer. Tu retournera la ville si il le faut.
deuxième visage
t'aimes quoi dans la vie sinon ? -- mes chats, manger, le vernis plein de paillettes, tout ce qui est doux et qui brille, mon console, mon lit
plutôt sushis ou ramens ? -- ramen
et le forum, tu trouves qu'il est beau comment ? -- comme il faut
crédits -- idk
- Code:
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<buzy>min yoongi -- suga + bts --</buzy> himura yūji